Marre de la civilisation! On prend la mer!

Kaiteriteri beach. Un parking comme un autre...


Little Kaiteriteri!



Le banc de sable de Motueka.

Début des deux jours de rêves! A bord du Tracteur Water Taxi!

Point de Départ, Onehanu Beach!



Lunch time à Bark Bay, on retrouve le groupe!


Le bisous de la seal! Cuuute!

Lagoon!


Sans dec', sinon vous ça va la vie?

Sur la route de Cleopatra pool pour se dégourdire les bras.

Ich bin coincé...

Cette nuit, on fera pas nos chipoteurs, on dors là.

Et le matin, vu du dessus, notre chambre pour la nuit ressemble à çaaaa!

J'lai touché la première! Donnez lui mon nom!

Adele Island!


Apple split rock!


              Après avoir évité de justesse à un petit film d’horreur sur fond de secte qui enferme des esclaves pour fabriquer des meubles d’enfant en bois déstinés à une école tenu par des pédophiles cannibales, rien de mieux  pour échapper à tout ça que de partir en mer…
              C’est parti pour deux jours de kayak sur les côtes du parc national Abel Tasman, l’une des première destination mondiale pour le sea kayaking !

            Un petit avant gout de ce qui nous attend en passant à Kaiteriteri beach et Little Kaiteriteri, plage de sable orange, grand soleil, mer de plein de bleus et verts différents, palmiers, rochers, la totale carte postale d’île paradisiaque.

           Sur le parking, histoire de te montrer que même à Terre, c’est beau, un rassemblement de vieilles voitures de collection que tu-sais-pas-laquelle-choisir-tellement-qu’elles-sont-toutes-trop-belles.

         On est triplement, quintuplement, des millards-de-foi- ment plus heureux de pas être rester dans le wwoof de l’horreur !

          Fifoutage oblige et esprit robinson, on prend la formule sans guide, deux jours de liberté totale, à explorer les petites iles, les lagons, les plages qu’on n’atteind que par la mer.

           On commence par prendre, avec un groupe guidé, le water taxi, qui à lui seul vaux son pesant de cacahuètes à paillete.
            Le water taxi, avant dêtre dans l’eau, c’est un bateaux, sur une brouette, tiré par un tracteur. Les gens sont dans le bateaux, les kayaks accrochés à l’arrière, et c’est parti pour une petite ballade surréaliste sur une plage à marais basse.

           Il finis tout de même par prendre la mer, laissant son compagnon tracteur  sur le sable.
Et là, entre Marahaun notre point de départ, et Onetahuti, on se rend compte que les deux prochains jours, ils vont déchirer sa maman du poney ! Hihaaa !

       On finis par quitter  le guide et le groupe pour aller à notre rythme.
Là, il se met à pleuvoir, genre 15 minutes, juste le temps qu’on s’arrete à Mosquito bay pour dire « whouaaa ».
          On repart guilleretement, la mer est plutôt calme, on prend de l’assurance, assez pour passer entre deux rochers et se faire coincé par une vague sur l’un des dit rochers, en pente, à deux doigts de se retourner.
         Mais c’etait sans compter Jordane, qui vaillamment, sortant du kayak comme un vrai survivant finit par nous décoincer, écorchant ses pieds et ses tibias contre le kayak qui n’arretait pas de bouger dangereusement.
Et ça repart !

         Petit arrêt lunch à Bark Bay, et chose importante, le jour d’avant, on avait acheté des… tomates… le trucs qui valait 20$ le kilos à notre arrivé, le légume du riche.
Les meilleurs sandwichs du monde, sur une plage de rêve que demande le peuple !

        Après avoir croisé quelques seals flemmardant sur des petits îles où nageant comme des vraies sirènes et même, des timides blue pinguns,  on s’arretent dans une bay pour faire une petite ballade de deux heures pour voir les Cleopatra’s pool, l’un des point d’une des great walks, la Abel Tasman Costal.
       C’est beau, et en prime, on a une vue de la bay… carte postales mes amis… cartes postales…

        La prochaine épreuve, à Te pukatea beach, c’est monter la tente pour la nuit et dormir dedans sans matelas, à presque même le sol.
        Mais tout ça c’est pas grave, parce que le matin, tu as une plage magique rien que pour toi et ton petit déj’. Le soleil en guise de douche, le sable comme banquette, la mer comme télé.

        C’est reparti  pour la deuxième journée !

        Soudain, alors que nous pagaillons , après avoir encore croisé des rochers, des côtes florissantes de palmiers et  autres végétations tropicales, d’autre oiseaux marins, et des plages de rêves, une île.
Grande, accueillante, florissante.

         Etant la première personne au monde entier de toute la terre et de l’univers  à jamais avoir poser la main dessus, la voila renomé Adele Island.
        Ouai j’suis comme ça moi, j’ai une île à mon nom. Et même qu’en plus elle est trop belle. Voilà.

          Ca se corse un peu pour nous après avoir quitté sa voisine, Fisherman Island, puisque le vent et les vagues on décidées de faire tanguer sérieusement le kayak. Un peu flippotant pour le coup, car à ce moment là, nous étion sen pleine mer, les côtes les plus proches encore bien loin…
        On a survécu, et on a même fait un petit détour pour voir Apple Split Rock, un gros cailloux rond cassé en deux, avant de galérer pour retourner à notre point finale.


        Deux jours coincé dans une carte postale… elle est trop dur la vie !


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