Jour 45 : Toronto, des ampoules, de la culture et du fun !

                 Rappelez nous d’arrêter de croire le GPS aka crazy tomtom aka j’ai-decidé-de-vous-faire-souffrir-en-vous-vidant-de-votre-sang-par-les-pieds.

                  Si un jour vous vous demandez où se trouve le Royal Muséum de Toronto…pas par là…


Le spot à dodo c’est le charmant repère à kéké Cherry beach, au bord de la mer du lac Ontario (« celui-dont-on-ne-voit-pas-le-bout » sans mauvais jeux de mots.) à soit disant deux kilomètres du musée. Ville oblige tout le stationnement est payant donc on se dit que l’argent économisé du parking payera une bonne glace.


                  Disons qu’après deux heures à tourner en carré on a finalement changé le programme « musée » en programme « ballade dans la ville ».


                                Toronto ça te donne l’impression d’être aux États-Unis, avec son monde et tous ses buildings immenses qui reflètent les nuages. Il fait super beau et sur le port on se croirait presque dans un épisode de Dexter. À la base c’était plutôt là où à Vancouver que j’aurais aimé atterrir plutôt qu’à Montréal. La seule chose qui me pousse à croire qu’on a finalement bien fait c’est le nombre de jolies filles au mètre carré.(entre les nanas qui faisaient du pôle dance dans le Trinity Belwood parks, – le rassemblement de la jeunesse de toute la ville- la fille qu’on a détaillé pendant une heure en mangeant nos wraps aux thons - chexyyy- le festival de la biatch en rentrant sur Cherry beach,– « elle avait un T shirt t’es sur !? » et la madame fitness qui faisait une séance photo en bikini sur la plage, autant dire que le petit boudin à cheveux bleu que je suis aurait finit par passer à la trappe …- ou finit dans les journaux comme étant la serial killeuse du siècle…-)

Rappelez moi d’apprendre à lire entièrement les phrases histoires qu’on ne fasse pas un détour d’environ deux bornes pour voir une foire…en cours d’installation à l’exibition place…

                   Enfin, des kilomètres ont en aura fait pas mal, mais du coup on a eu une bonne vision d’ensemble de la ville. Petit regret d’être arrivé trop tard pour visiter les serres d’Allan’s garden et le St Lawrence’s market, gros coup de cœur pour le distillery historic district, ancienne distillerie donc, un assemblement de bâtiments industriels en brique rouge réhabilités en un coin super sympa ( et je dis pas ça à cause de la fameuse glace/fondu au chocolat/ pizza chocolat banane qu’on y a mangé et qui nous a permis d’économiser nos pauvres pieds endoloris en rentrant puisqu’ont finit le trajet en roulant…)

Roulez moi.

                  Le lendemain, après avoir dégonflé, et pour reposer nos pattes, direction le ROM, Royal Ontario Museum. Un gros musée d’histoire naturelle.

La façade est géniale, mi vieux bâtiment mi gros diamant moderne. Ce dernier étant greffé dessus. À l’intérieur se retrouve le même enchevêtrement de récent et d’ancien tu te balade sans presque t’en rendre compte de l’un à l’autre.

             


                      Le contenu, beh y’a de tout. De l’histoire des premières nations en passant par la Chine avec un petit détour à droite pour voir des squelettes de dinosaures ( ça c’était super cool, y’a une grosse partie la dessus.) et un raccourcis par les minéraux ( tous plus dingue les uns que les autres) c’était fun… malgré une organisation houleuse et un manque de logique dans les collections mêmes.

                  

Ne passez pas dans les hautes heeeeerbes!

                      La journée qui avait mal commencé par une heure de recherche de place ( qu’on m’explique à quel moment le parking du musée à cru bon de faire un parking si bas qu’une voiture familiale ne peut pas y passer…) a relativement finit sur une sale note aussi… le musée ferme à 17h30 ( et n’ouvre pas avant 10 heures… la planque donc si vous voulez avoir des petites journées de taf…) et on te prévient 10 minutes avant… du coup, on a même pas pu faire le dernier étage consacré à l’Égypte et la Grèce antique…

Les horaires de vieux ici qui m’énervent mais que je tolère à Strasbourg, dans une ville comme Toronto, c’est vraiment…agaçant…

La découverte du jour : à l’époque des dino, y’avait des paresseux plus grand qu’un ours. Voilà, vous dormirez moins bête ce soir.

                    Mais on est des battants et on veut pas finir la journée sur une sale note ! Après avoir mangé nos habituelles yumyums améliorées, on se dirige un peu plus loin pour avoir la vue carte postale de la ville de nuit.

Choli beau.

Toronto, on t’as juste survolée et je serais bien resté un peu plus à explorer tes forêts de buildings, mais je t’aime bien. À la prochaine !