Jour 55 : Jasper : Terre du touriste sauvage.

So... Motivation motivation escritation...

                  Jasper on y aura passé genre trois petits jours. Et c'était pas loin de ressembler à un décor de carton pâte dans lequel on aurait oublié...le fond.

Je veux pas dire par là que c'était moche, non, je sous-entend plutôt qu'on à rien vu.
La fumée a finit par nous rattraper et clairement, on devinait plus qu'on ne voyait les montagnes qui avaient des allures de fantômes dans la brume.
Dans la belle (kofkof) ville de Jasper, on a mangé une pizza. Ca me parait assez important pour être précisé.

On s'est quand même balladé, mais sans grimper super haut vu qu'on y aurait vu quedal.
La brume, finalement, c'était pas si mal... (mes jambes remercient grandement les pyromanes du BC. Smouack.)

               Donc après avoir fait un bon gros caca nerveux de "filles hormonales" - merci l'expression Québecoise.- aux garçons (parce-que, et je ne m'éterniserais pas là dessus au risque de finir en métaphysique des tubes, voyager avec trois mecs c'est pas facile tout les jours et que j'en avais marre, et que c'est tous que des gros méchants de toute façons....) on est allé se faire la marche des "five lakes"  après avoir vu le bien trop bondé Maligne Canyon et les Athabasca falls.

C'était sympa, et à vrai dire, la conversation avec Jerome valait presque plus le détour que le paysage. :)

C'était notre dernière soirée à 4, et l'ambiance déjâ toute enfumée et grise n'en a été que plus maussade.

               C'était aussi quasiment la fin des vacances de Jérome, et mine de rien ça faisait un bon mois qu'avec Jordane on avait pas été seul. Le roadtrip entre copains c'est fun aussi même si c'est plus compliqué niveau logistique.

Good Bye Jean, c'est la fin de la période barbecue'n'chill.
 Le lendemain on file à trois aux sources d'eau chaude, après avoir passer le petit dej' avec un écureuils particulièrement pas trouillard. (Que je n'ai pas tué!)

  Le soir on a dormi à Edith Lake, mais surtout, le matin, on a eu un spectacle super chouette d'un cerf, sa meuf et leur peutiot qui faisaient leurs star à genre... 6 mètres du van.

Wildlife

              Apres, j'ai honte, j'sais plus ce qu'on a foutu. Faut dire qu'à Jasper on a pas été très prolifique en aventures. (Dieu que cet article est chiant.)

   Le deuxième soir, donc, (décidément où passent les journées?!) on a tenté la douche dans une rivière... dont l'eau provenait d'un glacier.

Froid.

C'était notre dernière soirée à 4, et l'ambiance déjâ toute enfumée et grise n'en a été que plus maussade.

               C'était aussi quasiment la fin des vacances de Jérome, et mine de rien ça faisait un bon mois qu'avec Jordane on avait pas été seul. Le roadtrip entre copains c'est fun aussi même si c'est plus compliqué niveau logistique.

Good Bye Jean, c'est la fin de la période barbecue'n'chill.
 Le lendemain on file à trois aux sources d'eau chaude, après avoir passer le petit dej' avec un écureuils particulièrement pas trouillard. (Que je n'ai pas tué!)

  Banff et Jasper ont beau être magnifiques, clairement, on a vu des endroits carrément plus sympas au Canada. 

C'est un peu l'effet de mode qui les rend si célèbres. Ca et le fait que c'est clairement la vitrine des paysage du pays...

Mais les gars, si vous avez l'intention de venir au Canada, cherchez plus loin. Y'a mieux. Avec moins de monde surtout...

                  On finit ces 10 jours par deux nuits d'hôtel à Edmonton, sur une note tristouille... On dépose Jerome à la gare en sachant qu'on risque de pas se revoir avant un bon moment...

               

               Et puis mine de rien on clos une partie du voyage, celle entre copains. Celle de la traversé.
Maintenant on se retrouve de nouveau à deux, avec un itinéraire à refaire, à l'Ouest.
Direction Kelowna où on va filer un coup de patte à Gabe et Alicia pour finir leurs scénarii d'escape room.
Se poser un petit peu, retravailler, ça ne fera pas de mal. A vrai dire, la "routine" commence à nous manquer. Celle ou t'as un chez toi ou tu peux marcher dedans, avec des copains et tes activités annexes (à base de truc degueu', de débrouillardise et d'une bonne dose d'imagination.). Celle ou tu te fait belle et te maquille parce-que ça te fait plaisir (Jordane passe des heures dans la salle de bain si vous saviez...) et ou tu peux jouer des journée entière sur ta console en mangeant du SAUCISSONBORDELDEBITE.

             Mais surtout... le temps devient long. C'est pourtant pas vraiment la fin de notre aventure ici mais on le sent comme si c'était finit. Voila presque un an qu'on est loin de chez nous.
Un an c'est long quand on est loin.

L'été s'en va doucement et ce connard embarque pas mal notre bonne humeur, durement arraché à Montréal...

La retrouvera t-on?